Archive | mars 2022
Ode au printemps
Un tapis de pâquerettes
Jonche la pelouse.
Une tulipe timide
Se cache sous son feuillage.
Le mimosa crache ses flammes.
Le bal des jonquilles
Ondule dans le sous-bois.
Sur la branche du saule,
Le merle lance son chant
D’allégresse.
Ô Printemps,
Saison du renouveau,
De l’appel à la vie,
Tu nous apportes
Le bonheur de revivre.
Dans les Landes
Printemps en montagne
Printemps
Dans l’air matinal, une douceur se dessine.
Les tardives gelées blanchissent l’herbe tendre.
Dans le pré verdi, la vache blonde rumine.
L’oiseau sur la branche lance son cri aigu.
Les tardives gelées blanchissent l’herbe tendre.
Les blanches pâquerettes éclosent dans le champ.
L’oiseau sur la branche lance son cri aigu.
La pâle et frêle jonquille s’éveille au soleil.
Les blanches pâquerettes éclosent dans le champ.
Le merle sombre siffle dans le jardin vert.
La pâle et frêle jonquille s’éveille au soleil.
Dans les nids douillets, piaillent les oiselets neufs.
Le merle sombre siffle dans le jardin vert.
Grues et oies cendrées reviennent du long voyage.
Dans les nids douillets, piaillent les oiselets neufs.
Dans l’air matinal, une douceur se dessine.
Hiver sur le lac
Printemps
Printemps, te voilà enfin…
Retour du soleil, un peu,
Il mouille aussi, giboulées…
Non, pas encore la chaleur !
Tous les jardins se colorent
Et l’arbre fruitier
Met son plus bel habit
Pour dire sa joie.
Saluons le Printemps !
Poésie mouillée
Flaque d’eau
Où les enfants aiment sauter
À pieds joints en éclaboussant
Bien loin…
Rires,rires…
Source jaillissante
Dans la montagne
Se faufilant
Entre les colchiques
Et les herbes folles.
Rivière large et majestueuse
Bordant la grande ville.
Péniches et bateaux de promenade
Se disputant le passage.
Océan infini où se perd le regard.
Miroir immobile et scintillant
Au soleil d’été.
Vagues sauvages
Se ruant sur le rivage.