Archives de tags | voyages

Voyages

Voyages, horizons bleutés

Voyages, chemins de sable blond

Voyages, vol au-dessus des nuages

Voyages, sentier abrupt dans la montagne

Voyages, cimes enneigées, nid d’aigle

Voyages, foule bigarrée, marché aux couleurs

Voyages, plages dorées, palmiers d’émeraude

Voyages, lacs endormis, édelweiss frileux

Voyages, vestiges de pierre, humanité lointaine.


Je veux voir et revoir cette terre,

Me gorger de richesses accumulées

Et m’enivrer des merveilles de ce monde.

Voyages

J’ai longtemps rêvé de rivages merveilleux

Où les vagues brumeuses, d’un tendre baiser,

Embrassaient doucement la grève irisée

Et léchaient mollement le pourtour rocailleux.


Où se trouve ce noble pays orgueilleux,

Ces jardins de verdure aux senteurs anisées

Que le soleil embrase de sa frêle rosée ?

Où sont ces sentiers idylliques et majestueux ?


C’est là que j’aimerais vivre avec passion

Au milieu des vives floraisons d’améthyste

Où ne règne aucunement nulle aversion.


Je m’évaderais parmi la pourpre des cistes;

Molle et alanguie, je jouerais la partition

Du bonheur comme un merveilleux et fier flûtiste.

La fable du bonheur

Celui-ci me dit:

Le bonheur, mais oui,

Je l’ai rencontré ;

Il est enfoui sous mon or

Bien au chaud dans mon coffre.

Malheur à qui y touchera!

Celui-là répondit:

Ah! Non! Vous n’y êtes pas !

Le bonheur, on le trouve

Loin de chez soi

Dans de lointaines contrées,

Des lieux inexplorés

Envahis d’une ensorcelante végétation.

Dans ma simplicité, je leur dis:

Mon bonheur à moi, il est tout petit,

Il me suit à chaque pas,

Dans la légèreté de l’oiseau ,

La beauté diaphane du lys,

Le sommeil serein de la chatte,

Les yeux de l’enfant émerveillé ;

Je l’ai vu dans la douceur

D’une nuit d’été,

Dans l’arc-en-ciel du couchant,

Dans les vignes à perte de vue.

Je l’ai vu, ce bonheur, aussi

Dans les yeux de l’être aimé…

Fable du bonheur

Celui-ci me dit:

Le bonheur , mais oui,

Je l’ai rencontré ;

Il est enfoui sous mon or

Bien au chaud dans mon coffre.

Malheur à qui y touchera!

Celui-là répondit:

Ah! Non! Vous n’y êtes pas!

Le bonheur, on le trouve

Loin de chez soi

Dans de lointaines contrées,

Des lieux inexplorés

Envahis d’une ensorcelante végétation.

Dans ma simplicité, je leur dis:

Mon bonheur à moi, il est tout petit,

Il me suit à chaque pas,

Dans la légèreté de l’oiseau,

La beauté diaphane du lys,

Le sommeil serein de la chatte,

Les yeux de l’enfant émerveillé ;

Je l’ai vu dans la douceur

D’une nuit d’été,

Dans l’arc-en-ciel du couchant,

Dans les vignes à perte de vue.

Je l’ai vu, ce bonheur aussi

Dans les yeux de l’être aimé…

Voyages

J’ai longtemps rêvé de rivages merveilleux

Où les vagues brumeuses, d’un tendre baiser,

Embrassaient doucement la grève irisée

Et léchaient mollement le pourtour rocailleux.

 

Où se trouve ce noble pays orgueilleux,

Ces jardins de verdure aux senteurs anisées

Que le soleil embrase de sa frêle rosée ?

Où sont ces sentiers idylliques et majestueux?

 

C’est là que j’aimerais vivre avec passion

Au milieu des vives floraisons d’améthyste

Où ne règne aucunement nulle aversion.

 

Je m’évaderais parmi la pourpre des cistes;

Molle et alanguie, je jouerais la partition

Du bonheur comme un merveilleux et fier flûtiste.

Voyages

Voyages, horizons bleutés

Voyages, chemins de sable blond

Voyages, vol au-dessus des nuages

Voyages, sentier abrupt dans la montagne

Voyages, cimes enneigées, nid d’aigle

Voyages, foule bigarrée, marché aux couleurs

Voyages, plages dorées, palmiers d’émeraude

Voyages, lacs endormis, édelweiss frileux

Voyages, vestiges de Pierre, humanité lointaine.

 

Je veux voir et revoir cette terre,

Me gorger de richesses accumulées

Et m’enivrer des merveilles de ce monde.

Voyages

RêverieP1000626J’ai longtemps rêvé de rivages merveilleux

Où les vagues brumeuses, d’un tendre baiser,

Embrassaient doucement la grève irisée

Et léchaient mollement le pourtour rocailleux.

 

Où se trouve ce noble pays orgueilleux,

Ces jardins de verdure aux senteurs anisées

Que le soleil embrase de sa frêle rosée?

Où sont ces sentiers idylliques et majestueux?

 

C’est là que j’aimerais vivre avec passion

Au milieu des vives floraisons d’améthyste

Où ne règne aucunement nulle aversion.

 

Je m’évaderais parmi la pourpre des cistes;

Molle et alanguie, je jouerais la partition

Du bonheur comme un merveilleux et fier flûtiste.