Dans la salle basse, règne le silence.
La comtoise égrène ses heures,
Celles du bonheur.
Des papillons de lumière dansent.
Près de l’âtre ,le chat sommeille;
Son pelage frémit de son rêve,
Son repos lentement s’achève;
Il ouvre un œil et dresse une oreille.
Dehors, le soleil lance ses rayons
Sur la terre chaude,
L’abeille butine la reine-claude;
Sous la pierre, chante le grillon.