On ne savait pas
Que c’était le bonheur !
On allait libres,
Sans autorisation.
Libres de travailler,
De se promener,
De se rencontrer.
On ne savait pas
Que c’était le bonheur !
On se donnait la main,
On s’embrassait,
Les enfants faisaient des rondes,
Se tenaient par le cou.
On ne savait pas
Que c’était le bonheur !
Un ennemi s’est infiltré,
Un virus infiniment petit,
Invisible, tueur.
La vie s’est arrêtée,
Le bonheur s’est enfui!
Il revient toujours le bonheur, mais quand, et peut-être autrement, car c’est la vie, une continuelle adaptation. Amitiés
Je suis d’accord avec vous. Amitiés.
bonjour danielle!!!! vivement qu ont retrouve cette belle libertee !!!! flaner marcher discuter rire avec nos amis a bientôt !!!!!
Je suis d’accord avec toi. Merci de lire mes pensées -confinement.😷😷😷😷
J’imagine que cela doit vous manquer à toutes les deux !!!
Oh! Combien ! À des fofolles comme nous!
Je ne suis pas sure que le bonheur se soit enfuit. Ce qui est sûr c’est que ce virus nous a fait prendre la mesure de toutes ces petites choses, de tous ces petits bonheurs que nous prenions jusque ici pour acquis. Ce poème est vraiment beau, très limpide et harmonieux à l’oreille. Merci Danièle.
Non, le bonheur va revenir. C’est un animal rusé qui nous joue des tours mais ne peut se passer de nous. 😘